lundi 12 février 2007

JE RÊVE, TU RÊVES, NOUS RÊVONS, RÊVONS ENSEMBLE !







Vous arrive t’il de faire des rêves étranges ? Moi oui, à tel point qu’en me réveillant il m’arrive d’aller consulter le dictionnaire des rêves, histoire de me rassurer.

Je pourrais écrire des romans ! En voici quelques uns résumés.

Il m’arrive souvent de rêver que je vole, dans les airs je tiens à préciser, jamais dans les magasins. Petite fille, je faisais souvent le même rêve : J’entrais dans une pâtisserie, la porte était ouverte, j’étais seule devant des piles de gâteaux multicolores, des sucettes géantes des glaces. Je prenais tout ce qui me plaisait et j’engloutissais, sans prendre un gramme, ce qui explique peut-être pourquoi je suis restée svelte. Ceci est une autre histoire….. Ce rêve s’est dissipé au fil du temps. Néanmoins il m’arrive encore de rêver que mon cousin, qui était également mon compagnon de jeux, (N’ayant que lui sous la main avec Kiki Bonnefois et le petit François Esposito) Me poursuit, une paire de ciseaux à la main pour me couper une natte. Nous sommes enfants. Allez savoir pourquoi ! Peut-être un vieux traumatisme qui a marqué ma vie à tout jamais, qui sait !


Je développe également des rêves beaucoup plus sérieux. Je me trouve alors dans un pays en guerre, j’entends les déflagrations des bombes, tout n’est que ruines autour de moi, j’essaie de fuir en vain ! Je ne vois jamais la sortie, exceptée lorsque je m’éveille brutalement.

Mes grands-parents peuplent souvent mes rêves. Je les revois paisibles, me souriant. Je me sens bien auprès d’eux. Souvent je remonte le temps et revêts la robe d’une femme du peuple, je suis au moyen âge, je porte un panier rempli de fruits.

Je rêve fréquemment que je me promène le long d’une plage, dans la brume. Je suis habillée d’une longue robe et j’entre dans l’eau tiède. J’avance lentement, une main se tend vers moi et je distingue un enfant que je n’arrive jamais à atteindre. Parfois il s’agit un petit garçon, parfois d’une petite fille. Je ne parviens jamais à les identifier.


Un rêve que je n’oublierai pas, c’est celui que j’ai fait il y a trois ans. Je regardais le ciel, lorsque maman m’est apparue avec ses beaux cheveux blonds. Elle me souriait tout en descendant vers moi pour terminer sa chute en une pluie d’étoiles.

Pourquoi rêve t’on ?

Est-ce que le rêve est la clé des songes ? Est-ce qu’il nous informe sur notre véritable être ? Je fais souvent des rêves prémonitoires. Ce sera pour un prochain volet, en attendant, n’hésitez pas à me parler de vos expériences dans ce domaine, si vous en avez envie bien entendu…..

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Je serai donc la première personne a posé un commentaire sur ce très intéressant (et instructif) article écrit par "appelez moi Do". Je pense que cette oh combien charmante personne (si j'en juge sa photo avec masque et que je n'ai pas l'honneur et le plaisir de connaître, hum !) a oublié un autre rêve où son gentil petit cousin plus âgé (qui sera je pense ravi de savoir qu'il n'a été son compagnon de jeux que parce qu'elle n'avait pas mieux "sous la main" sic.) lui courait derrière avec un filet à papillons qu'il lui tendait... Elle a également oublié (mais cela je pense volontairement) le pourquoi de sa prétendue intention de lui couper les nattes(acte que je le pense n'avait pour but que de lui faire un peu peur) . Peut être le poussait-elle souvent à bouts, et le mettait-elle hors de lui (ce qui arrivait souvent il faut bien le reconnaître) et celui lui procurait peut être, disons une certaine satisfaction pour ne pas dire plaisir ? Ce ne sont que des supputations de ma part, je le répète.
Pour en revenir au sujet principal, je ne crois pas beaucoup à tous ces livres sensés fournir l'explication sur tel ou tel rêve. Le cerveau de l'être humain, donc celui de la femme aussi :-), bien que plus petit (ce qui ne signifie pas obligatoirement que les hommes soient plus intelligents), est très complexe et enregistre, même parfois inconsciemment, tous les actes et moments de notre vie, qu'il nous ressort par l'intermédiaire de nos rêves. Ce cerveau et sa mémoire ont-ils été sollicités au cours de la journée par un souvenir revenu en regardant une photo, ou une réminiscence de tel ou tel fait, ou même une similitude entre un moment présent et un moment passé ?. Bien sûr lorsque certains rêves ne correspondent plus à une réalité, même déformée (voir supra) il y a une raison, qui pourrait s'expliquer, peut être, par notre état mental ce jour là, un livre lu dans la journée ou même un film regardé récemment (je pense notamment aux "hauts de Hurlevent" avec Gaby Morlay et François Ledoux, oh pardon Fernand Ledoux qui a marqué bien des esprits sensibles :-) )
Ce qui est sûr c'est que tout le monde ne se souvient pas de ses rêves au moment du réveil (je dirais même mieux que très peu de personnes s'en souviennent). Contrairement à eux, c'est mon cas, tout comme notre Duchesse (mais dois avouer que je fais des rêves moins oniriques) et je pense que l'un comme l'autre nous avons des nuits tourmentées, perturbées et notre cerveau, qui devrait travailler au ralenti, est toujours en activité. En tout cas je crois que nos rêves sont "le garant de notre mémoire" et nous permettent d'avancer dans "le cycle de la vie" (il m'arrive des fois de ne pas me reconnaître dans mes propos). Pour ce qui est des rêves prémonitoires je suis sceptique, je pense que c'est également le reflet de nos craintes, de nos terreurs, de nos doutes.
Ce sont des réflexions simplistes d'un non initié dans le domaine de la psychologie ou de la psychanalyse et qui n'engagent que moi. (à l'exception du début de mon commentaire).
Sur ce je vais faire une sieste pour rêver d'une autre vie.
Méphisto (alias le Colombo français à la retraite)

Anonyme a dit…

C'est dommage je ne me souviens jamais de mes rêves, ou alors trés brièvement quand je me reveille au milieu. Pourtant je rêve c'est sûr ! comme tout le monde ( même les chiens rêvent!)
Nous passons le tiers de notre existence à dormir et donc un nombre d'heures tres conséquent où notre cerveau donne libre court
à son activité onirique. Le rêve c'est peut être la soupape pour nous empêcher de devenir fou.Il nous permet de vivre nos passions refoulées, de donner libre court à nos pulsions sans le carcan de la conscience.Tout ce qui nous arrive , toutes nos émotions s'enregistrent petit à petit dans notre subconscient. Ensuite notre cerveau n'a plus qu'a créer un "scénario" en puisant dans cette "réserve" d'images oniriques.L'étude des rêves pourrait nous en apprendre beaucoup sur nous même à condition de ne pas faire d'erreur d'interpretation... toute la difficulté est là :-)
ESPI

Appelez moi Do a dit…

Is a joke, il était mon petit cousin préféré. Ohhhhh !

Cela étant, faut peut être pas pousser en inventant n’importe quoi. En fait, le petit cousin était plus peureux que moi, voilà pourquoi je le perdais souvent, pour me venger des méchancetés qu’il m’infligeait en me tordant les bras par exemple où en me faisant mettre à genoux…

Tu y étais toi dans mes rêves Colombo pour avancer des faits qui ne tiennent pas debout ? :- )

Quant au cerveau de la femme, s’il est plus petit que celui de l'homme, il a l’avantage d’être bien rempli, il n’a aucune case de vide.


Ne dit-on pas : Le noeud est à la cravate ce que le cerveau est à l'homme ! Hein !

Au secours les filles !

Je pense également que nos rêves sont canalisés par notre vécu. Certaines personnes prétendent ne jamais rêver, c’est faux, tout le monde rêve. D'autres prétendent pouvoir orienter le cours de leurs rêves. Personnellement je n’ai jamais pu.

Appelez moi Do a dit…

Tiens Espi sème encore le doute dans mon esprit.

Son raisonnement sur l’interprétation des rêves ressemble davantage à celui d’un homme qu’à celui d’une femme. C’est vrai les chiens rêvent aussi, il m’arrive souvent de surprendre mon adorable Capucine, un petit cœur entouré de poils, soit dit en passant, pousser des petits gémissements tandis qu’elle dort profondément. C’est bien le signe qu’elle rêve ! Tous les animaux rêvent, oui mais à quoi ? Puisqu’ils ne peuvent pas s’exprimer dans le language humain. Possiblement à un souvenir qui a marqué leur journée. ???

Effectivement Espi, je pense que nous deviendrions fous si nous ne rêvions pas !

Appelez moi Do a dit…

Petit rectificatif au premier message laissé sur ce blog par l’ami Colombofisto.

Encore une pierre dans mon jardin ! Il adore m'irriter avec «Les hauts de Hurlevent» No comment ! Si vous avez lu mon profil, cher Colombo, vous aurez relevé que je suis has been jusqu’au cou et que je m’en fous.

Gaby Morlay et Fernand Ledoux n’ont jamais tournés dans «Les Hauts de Hurlevent» (Film que j’adore tout particulièrement) Ce sont Merle Oberon et Laurence Olivier qui en étaient les héros. Réalisé par William Wyler, ce classique a été produit en 1939.

Plus tard, les rôles ont été repris par Juliette Binoche et Ralph Fiennes. Personnellement je préfère la VO. À mon avis vous devez confondre avec «Papa maman la bonne et moi» Colombofisto. Comédie sympathique soit, toutefois moins profonde et romantique que «Les Hauts de Hurlevent» donc, plus proche de vos goûts cinématographiques :- )

Pour votre information :

http://www.amazon.fr/Hauts-Hurlevent-Juliette-Binoche/dp/B0000UN8YK/sr=1-8/qid=1171563887/ref=sr_1_8/171-6906107-0393000?ie=UTF8&s=dvd

http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=12738

Bonne lecture Colombo. :- )

Anonyme a dit…

Mais non, mais non, Do, vous n'êtes pas si hasbeen que cela, preuve en est ce très conviviable et agréable blog et votre très beau et émouvant diaporama sur "l'Algérie terres de nos aïeuxs".
Vous savez très bien que je vous niaise au sujet des "hauts de hurlevent". Je vous remercie toutefois pour ces précisions sur le film original de 1939, précisions que je connaissais déjà certes mais qui prouve oh combien l'intérêt que vous portez à l'enrichissement de ma culture cinématographique, intérêt que me démontre également à maintes occasions la jolie petite Ludi que l'on entend plus ces temps ci :-) et cela me manque.
Votre Colombofisto.

Appelez moi Do a dit…

La petite Ludi se fait rare aussi, je suis d'accord avec toi Colombo.

Unknown a dit…

La petite Ludivine elle bosse! Non mais...C'est difficile d'être étudiant. Les soirées, la fête, les grace mat'! Non je rigole bien sur. Mais cette semaine c'est vrai que j'ai été occupée entre les avants premières de presse (ça c'est juste pour me la péter, en même temps le film que j'ai vu c'était Michou d'Auber, donc y a pas la peine de me la péter de trop) et puis le dossier de Cormerais qui me prend tout mon temps. Alors voilà pourquoi, je n'ai pas trop pointé le bout de mon nez. Mais je suis de retour...pour de nouvelles aventures.

Anonyme a dit…

Je salue des deux mains le retour de "l'enfant prodigue" et espère qu'elle n'est pas trop éreintée. J'espère lire un de ces jours ta critique sur le film "Michou d'auber" avec le grand (et gros) Depardiou, je crois.. Film qui se rattacherait bien à l'article précédent de Do.
Pas de nouveau sur l'identité d'Espî ?
Le Colombo français à la retraite

Anonyme a dit…

Pour ma part, il m'arrive régulièrement, et je dirai même, trop svt de rêver d'enfants, je veux dire, de bébés.
Une nuit, je rpeve que mon copain arrive à la maternité, me prend notre bébé des bras et le jette par la fenêtre sous mes cris.
Une autre nuit, je rêve que je suis à al maternité, attachée de toute part par des perfs et autres "tuyaux" quand ma meilleure amie arrive, prend mon bébé endormi (qui a exactement le visage de mon copain) et se met à le frapper, à lui faire mal...Le bébé hurle et moi aussi mais je ne peux pas bouger, me détacher, je ne peux qu'être témoin de cet horrible spectacle...
Ces cauchemards me font me débattre dans mon sommeil, endormei, je supplie d'arrêter, à tel point que mon copain, affolé, me réveille. Je suis alors tremblante et mes yeux me piquent comme si ils allaient pleurer...
C'est très déconcertant de rêver sans arrêt de bébé et de maternité, surtout quand on a que 17 ans...mais un fort instinct maternel...de quoi me mettre dans ts mes états...